Tempérance
'La Porte à l'Observance Vitale est ouverte à l'individualité en sa Personnalisation'
Comme nom ou comme adjectif, grand, n'est pas l'expression la plus vaste qui soit, immense, incommensurable, gigantesque, illimité, et bien entendu pour ce qui concerne l'Eternel, Dieu est sans aucun doute plus correctement désigné comme absolu, car Il est l'Absolu.
"Dieu absolu" dépasse en considération, révérence, "Dieu est grand".
"Grand" peut donc apparaître comme réducteur par rapport à d'autres formes de description. "Dieu Absolu" traduit en Arabe:
الله المطلق
"Mon frère" m'est inadmissible en dehors de la vérité qui est celle de la Famille, seuls des individus nés d'une même Mère et d'un même Père sont de vrais frères et soeurs, idem pour Père et Mère.
Pour des enfants nés d'une même Mère mais pas du Père, nous disons demi-soeur ou demi-frère, et ceci afin d'être précis et exacts.
La question peut se poser; en religion, comment se fait-il que des formulations employées ne sont pas vraiment justes?
Au curé, au prêtre, il faut dire "mon père", mais il ne l'est pas, à une religieuse il faut dire "ma mère" ou "ma soeur", mais elle ne l'est pas en toute exactitude.
Le vocabulaire est-il donc si restreint, qu'aucun titre mieux défini, ou plus approprié, ne puisse s'utiliser, Dieu est vérité, non par assimilations, expressions d'usage, mais par principe.
Entre autre, est-ce cela qui fait que des individus ne se sentent pas concernés à prendre l'Absolu, Dieu, en considération?
Avec l'argument que les religions sont une tromperie, particulièrement destinée à une seule volonté, celle du dirigisme. Une main mise sur la masse, qui elle, serait obscure.
Il y a le dirigisme de l'état, de ceux qui nous gouvernent et nous administrent, de par le monde ici et là insupportables, et en plus celui des investis d'un dogme, le plus souvent qui se soutiennent l'un l'autre en un pouvoir étendu sur le peuple.
Il y a les interdits de Dieu, parfaitement compréhensibles par tout homme, fut-il laïque, d'où qu'il soit, dans la plus grande simplicité et d'acceptation générale à l'échelle de la planète, et les interdits dont l'homme a donné une importance qui n'est que la volonté d'imposer un pouvoir, motif à affirmer l'honorabilité d'une fonction, qui ne sont pas d'acceptation unanimement partagée par tous sur la planète, et qui ne sont que d'ambiance locale, cependant tout à fait appréciable d'un bonheur au partage amical, un folklore culturel, mais en aucun cas ne peuvent être l'expression d'une supériorité à s'enorgueillir, ou plus grave encore à combattre d'agression, et faire fi de: "tu ne tueras point".
Je suis horrifié lorsque j'entends de la bouche d'un soit-disant croyant en Dieu invectiver un individu d'une autre religion en utilisant le terme d'infidèle. Idem lorsque des investis d'une religion appellent à la mort des ennemis, dans le cas d'un conflit armé la limite à ne pas dépasser se situe à prier pour ses guerriers, ses défenseurs, au-delà le religieux ouvre le gouffre aux enfers.
La mondialisation, comme tout accouchement, se fait dans la douleur, elle a été voulue, il faut l'assumer, et mettre au piquet les mauvais élèves qui cherchent tous les prétextes pour amoindrir les autres, dans "tous égaux" il ne peut y avoir d'exception, n'en déplaise aux nantis et aux investis de quelque fonction que ce soit, d'où qu'ils fussent. Ce qui en aucun cas empêche un devoir de respect envers tout individu.
Terminé la fin de tous les interdits sauf pour les passe-droits, nombreux et de toutes religions sont ceux qui appellent au progrès, une plus grande justice sociale.
Ils sont deux à avoir ouvert la voie, Sa Sainteté le Dalaï Lama, et Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc Commandeur des croyants.
«Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre cerveau et notre coeur sont nos temples.»
[ Dalaï Lama ]
RIF 2011 NOUVO...