A l’inverse ou à contre-courant.
L’artiste-peintre autodidacte n’a pas eu recours aux deniers pris de la large poche des
contribuables pour suivre un enseignement plus ou moins long et onéreux, il ne bénéficie pas d’un environnement qui se prolonge, bien au delà de ce que pourrait imaginer l’homme de la rue, en
une intelligentsia, des gens biens pour qui ce qui est simple apparaît simpliste, rompus aux expressions aussi obliques qu’alambiquées, intimes aux pouvoirs politiques institués à
l’administration du peuple en culture de mondialisation.
S’il veut se médiatiser en des lieux de qualité il doit, le plus souvent, mettre la main à sa maigre bourse
professionnelle pour l’amortissements de locaux culturels publics ou privés. De même pour accéder à la critique de son art, proposée souvent par un confrère polyvalent, juge et
parti.
Il conçoit que le rédacteur est responsable de son commentaire, la diffusion lui appartient. Le pictural est une
matière première offerte à l’expression de son art de belles-lettres, d’érudition, mais aussi un garant d’expertise.
L’artiste n’est pas le sujet de son art, sa biographie superfétatoire.
Le visuel reste sa seule ressource, de ne pas vouloir afficher la représentation de son travail par une approche
linguistique exotique, il met en mouvement la littérature propre à le définir dans les idées de sa conception pittoresque.
L’ultime recours, internet, le web, la toile, d’accessibilité internationale et de moindre coût, démocratique. Le
reflet virtuel issu d’un existant appréciable, cependant pas comme exercice de style sémantique, non moins contemporain, plutôt graphique et haut en couleurs ni primaires, secondaires ou
tertiaires et ainsi de suite enseignées, ostensiblement de polarité et d’ équilibre.
Un vécu à situer dans les années 1980, en un lieu précis mais non divulgué, en complément:
KaraArt: link
Il me semble utile d’ajouter que les curateurs, historiens d’art diplômés, employés de l’état en situation
sociale confortable ou aisée volontairement choisie, pour la plupart ayant renoncé à l’aléatoire d’une carrière essentiellement artistique, philosophie appliquée d’un tient vaut mieux que deux
tu l’auras, outres pleines seulement de pouvoir décisoire qui vous prêtent d’emblée pour seule intention la reconnaissance publique au statut de star et aux avantages supposés qui en découlent
, sont enclins je l’espère de manière inconsciente, à ne soutenir que ce qui leur parait personnellement réalisable et qui ne tient qu’à l’idée, grâce à eux étayée de romance et littérature
d’illusionnistes, ayant perdu d’emblée toute naïveté par le fait même de l’enseignement acquis , la conscience polluée de n’avoir d’autre alternative que les gestes déjà accomplis par d’autres
donc ne pouvant s’assimiler à aucune modernité par synthèse conçue comme opération inverse de l’analyse.
Il est des artistes qui rejettent l’enseignement d’autrui pour ne valoriser que l’expérience vécue, d’autres
autodidactes, j’en fais parti, ignorants et naïfs toutefois non moins confrontés à l’épreuve des indigents, probablement un goût pour l’aventure, en tout cas à l’unisson sans peur du risque, le
coeur a ses raisons que la raison ignore, l’intuition dans son développement d’inspiration concrétisée en un travail manifeste, réel sur tous les plans, indéniable.
En exergue il en est d’autres, au pouvoir non moins décisoire, le crâne bourré de tous les enseignements à
l’administration des contemporains, experts en dirigisme au credo de liberté, d’égalité, de fraternité, mais aux relents d’utopie qui ne font que le malheur des peuples par égoïsme en les
soumettant à tous les dangers , à court terme, peu de centaines d’ années, la disparition de l’humanité sur cette planète, ces derniers nourrissent les premiers allez donc savoir pourquoi, un
éclaircissement biblique peut-être, la jalousie réactionnaire et destructive à une potentialité originelle individuelle commune de création matérialisée et harmonieuse, pureté d’ intention à
jamais inviolable, artistique, n’en déplaise.
The Pretty Things - S.F. Sorrow (Part 1 of 5)
The Pretty Things - S.F. Sorrow (Part 5 of 5)
A l’inverse ou à contre-courant.
L’artiste-peintre autodidacte n’a pas eu recours aux deniers pris de la large poche des contribuables pour suivre un enseignement plus ou moins long et onéreux, il ne bénéficie pas d’un environnement qui se prolonge, bien au delà de ce que pourrait imaginer l’homme de la rue, en une intelligentsia, des gens biens pour qui ce qui est simple apparaît simpliste, rompus aux expressions aussi obliques qu’alambiquées, intimes aux pouvoirs politiques institués à l’administration du peuple en culture de mondialisation.
S’il veut se médiatiser en des lieux de qualité il doit, le plus souvent, mettre la main à sa maigre bourse professionnelle pour l’amortissements de locaux culturels publics ou privés. De même pour accéder à la critique de son art, proposée souvent par un confrère polyvalent, juge et parti.
Il conçoit que le rédacteur est responsable de son commentaire, la diffusion lui appartient. Le pictural est une matière première offerte à l’expression de son art de belles-lettres, d’érudition, mais aussi un garant d’expertise.
L’artiste n’est pas le sujet de son art, sa biographie superfétatoire.
Le visuel reste sa seule ressource, de ne pas vouloir afficher la représentation de son travail par une approche linguistique exotique, il met en mouvement la littérature propre à le définir dans les idées de sa conception pittoresque.
L’ultime recours, internet, le web, la toile, d’accessibilité internationale et de moindre coût, démocratique. Le reflet virtuel issu d’un existant appréciable, cependant pas comme exercice de style sémantique, non moins contemporain, plutôt graphique et haut en couleurs ni primaires, secondaires ou tertiaires et ainsi de suite enseignées, ostensiblement de polarité et d’ équilibre.
Un vécu à situer dans les années 1980, en un lieu précis mais non divulgué, en complément:
KaraArt: link
Il me semble utile d’ajouter que les curateurs, historiens d’art diplômés, employés de l’état en situation sociale confortable ou aisée volontairement choisie, pour la plupart ayant renoncé à l’aléatoire d’une carrière essentiellement artistique, philosophie appliquée d’un tient vaut mieux que deux tu l’auras, outres pleines seulement de pouvoir décisoire qui vous prêtent d’emblée pour seule intention la reconnaissance publique au statut de star et aux avantages supposés qui en découlent , sont enclins je l’espère de manière inconsciente, à ne soutenir que ce qui leur parait personnellement réalisable et qui ne tient qu’à l’idée, grâce à eux étayée de romance et littérature d’illusionnistes, ayant perdu d’emblée toute naïveté par le fait même de l’enseignement acquis , la conscience polluée de n’avoir d’autre alternative que les gestes déjà accomplis par d’autres donc ne pouvant s’assimiler à aucune modernité par synthèse conçue comme opération inverse de l’analyse.
Il est des artistes qui rejettent l’enseignement d’autrui pour ne valoriser que l’expérience vécue, d’autres autodidactes, j’en fais parti, ignorants et naïfs toutefois non moins confrontés à l’épreuve des indigents, probablement un goût pour l’aventure, en tout cas à l’unisson sans peur du risque, le coeur a ses raisons que la raison ignore, l’intuition dans son développement d’inspiration concrétisée en un travail manifeste, réel sur tous les plans, indéniable.
En exergue il en est d’autres, au pouvoir non moins décisoire, le crâne bourré de tous les enseignements à l’administration des contemporains, experts en dirigisme au credo de liberté, d’égalité, de fraternité, mais aux relents d’utopie qui ne font que le malheur des peuples par égoïsme en les soumettant à tous les dangers , à court terme, peu de centaines d’ années, la disparition de l’humanité sur cette planète, ces derniers nourrissent les premiers allez donc savoir pourquoi, un éclaircissement biblique peut-être, la jalousie réactionnaire et destructive à une potentialité originelle individuelle commune de création matérialisée et harmonieuse, pureté d’ intention à jamais inviolable, artistique, n’en déplaise.